Solange La Bourge « Saison 3 » : DUne Soirée Mondaine, À Un Bar Tabac, Beaucoup Plus Animé. Le Jeune Gitan Se Tape La Salope (Partie 13-3/5)
Cétait en juin 2018, un samedi soir, nous étions invités à une de ces soirées mondaines, où tout le monde se fait des sourires, faisant semblant de se connaître, où les « bobo » débarquent comme dans une série « la croisière samuse ». Enfin, la soirée barbante par excellence où lon est content de sen aller, les jambes lourdes, davoir joué la grue et des crampes aux zygomatiques après tant de risettes es.
Dans ce genre dendroit, Patrick me voulait toujours à mon avantage afin de faire jaser la bonne société, « mais cest sa femme ? Elle a au moins vingt ans de moins que lui ! ». Ça cétait pour la version féminine. Pour la masculine je vous laisse deviner. « Lenfoiré de Patrick, la chance quil a de se taper une gonzesse gaulée comme elle ». Ainsi pour faire baver cette communauté de prout-prout, je métais habillée dune robe rose à fines bretelles, descendant à mi-cuisses, dont le décolleté laissait entrevoir la naissance de ma poitrine, des bas autofixants noir, dun soutien-gorge bandeau, rien de plus affreux que de voir deux bretelles différentes et une culotte. Je portais des escarpins noirs à talons aiguilles, puis pour couronner ma tenue, mon mari maffubla dun collier de perles blanches.
Tu es et tu seras la plus belle mon amour, mavait dit Patrick avant de partir. Jespère que tu vas te faire draguer, ça sera le plus beau compliment pour moi.
Il est vrai que lors de la soirée en mode lunch, je me fis aborder à plusieurs reprises. Dailleurs, davantage lorsque Patrick séloignait un peu de moi. Les plus entreprenants et même effrontés étaient des hommes dâge mur, la soixantaine, qui se targuaient dêtre du même âge que mon époux, tout en soulignant :
Patrick ma souvent parlé de votre couple atypique, je dois avouer que vous avez raison de préférer des hommes de notre heure. Plus expérimentés, connaissant davantage les aspirations de la femme dans sa concupiscence.
Tout ceci se disait en reluquant ma poitrine à peine dévoilée. Cétait ennuyeux à la fin que de nêtre considérée que comme un corps quon désirait tirer, pour sassouvir dans la luxure, mais la contrepartie, était que dans ce genre de soirée barbante, ça faisait passer le temps. Pour être tout à fait sincère, je préférais être courtisée, quêtre ignorée.
Sans doute, répondis-je, les hommes de votre heure, comme vous dites, sont plus à lécoute de la femme, de ce quelle souhaite. Pour le moment Patrick me connaissant depuis bientôt vingt ans, me satisfait pleinement. Sil me partage, cest lui qui décide avec qui, pas moi.
Comment ça ? Sétrangla lhomme. Vous me dites que vous êtes un couple libertin, et que Patrick parfois vous offre à dautres ?
Vous me disiez bien connaître mon mari et nos murs « atypiques », insistais-je sur le mot en détachant les syllabes, il ne vous a pas entretenu sur cela ? Patrick ! Patrick ! Appelais-je.
Brièvement, je lui expliquai la conversation avec cet inconnu, ce qui le ravissait de me savoir désirée, puis je méclipsais les laissant dans une causerie certainement coquine à mon encontre. Sur les coups de minuit, nous tirions notre révérence. Nous roulions sur les bords de Seine, encore une heure de route pour rejoindre notre domicile, lorsque mon mari, fumeur occasionnel, se décida dacheter un paquet, la dernière cigarette sétant consumée lors de la soirée.
Si je vois ou tu vois à cette heure un bureau de tabac encore ouvert, on sarrête. Ça mévitera de sortir demain Dimanche et daller jusquen ville en acheter.
Ainsi, avant de reprendre lautoroute, porte de la Chapelle, nous sommes entrés dans Aubervilliers. Après avoir tourné dans quelques rues, nous découvrions la carotte illuminée dun bar tabac. La petite rue était gorgée de voitures en stationnement, impossible de se garer. Patrick se mis en double file.
Vas-y ma chérie, je tattends !
Jentrais dans le tabac où le barman ne faisant pas attention à moi, scrutait une retransmission de la coupe du monde de foot.
Le type persistait comme un maquignon jaugeant une pouliche. Je me sentis nue, me demandant si je devais cacher mon décolleté ou tirer sur les pans de ma robe pour la rallonger. Je lui fis un sourire de politesse très et je me raclais la gorge pour attirer lattention du barman qui senthousiasmait des phases de match. Le type sapprocha :
Quest-ce que tu veux boire, cest moi qui offre ? Ses yeux plongèrent dans léchancrure de ma robe.
Rien, je vous remercie, je suis venue acheter des cigarettes, répondis-je à haute voix en espérant que le gérant me remarque.
Ça nempêche pas de boire un verre en ma compagnie.
Non vous dis-je, je suis venue acheter des cigarettes pour mon mari, dailleurs il est là, dis-je en faisant un geste de la main vers la rue, il mattend.
Il tattend ? Il laisse une belle femme comme toi entrer dans un bar à minuit passé ? Il jeta un il dehors. Je ne vois pas ton mec ma poulette, une de tes astuces à la con pour te débiner !
A mon tour, je scrutais la rue au travers de la vitrine. Personne ! Pas de voiture en double file. Je me liquéfiais littéralement, où était Patrick ?
Allez, viens tassoir avec nous !
Le type, la petite quarantaine, trapu, au faciès de gitan, me saisit fermement par le poignet et mentraina vers le comptoir.
Comment que tu tappelles que je te présente mon cousin Claudio, et mon neveu Anthony, moi cest Fausto, alors ?
Sol
Solange, bredouillais-je.
Le patron daigna enfin se retourner vers moi.
Toccupe, dit Fausto en tendant la paume de sa main vers le cafetier, cest une connaissance qui vient boire un verre, alors Solange, quest-ce que tu prends ?
Rien ! Vous dis-je, laissez-moi, je men vais !
Sa main enserrant mon poignet se fit encore plus ferme, me retenant.
Assieds-toi là !
Dun mouvement du menton, il me désigna un tabouret haut de comptoir et sa main me guida avec vigueur pour mobliger à y prendre place. Que faire ? Essayer de men aller ? Il me tenait avec force, jabandonnais lidée. Demandé le secours du barman qui apparemment se fichait de ce qui se passait, ce nétait pas son problème, et de plus, le Fausto aurait pu me mettre une gifle pour me calmer. Attendre Patrick ? Oui, la voiture devait gêner, il sétait garé un peu plus loin, et ne me voyant pas, il viendrait voir ce que je fabriquais. Cétait la seule solution envisageable pour le moment. Je me résolus alors, à monter sur le tabouret. La première conséquence fut que ma robe découvrit davantage mes cuisses, à la limite de mes jarretières, comme si javais besoin de le provoquer de nouveau.
Alors tu bois quoi ?
Une menthe !
Fausto était à ma droite, dos à la porte dentrée, faisant barrière à déventuels vues provenant de lextérieur. Claudio posa sa main sur mon genou.
Quest-ce que vous faites ? Dis-je bêtement.
Fausto en fit de même, et tous deux, de concert chacun de leur côté mécartèrent mes jambes sous le regard ravi et étonné du jeune Anthony.
Quest-ce quon fait ? Rien. Répondit Claudio. Tu vois, quand jaime une bière, je la bois. Quand jaime un match de foot, je le regarde. Et quand une belle femme comme toi est à mes côtés, je la caresse.
Moi, cest pareil, dit Fausto.
Qui de sa main libre vint se plaquer sur ma cuisse à la limite de mon bas et de ma peau nue. Claudio en fit de même.
Non ! Laissez-moi partir !
Jessayais de descendre du tabouret, mais une main sétait glissée sous ma culotte et deux ou trois doigts sans difficultés au regard de ma position, sétaient ancrés dans ma vulve et mempêchaient den bouger.
Cest fermé ! Hurla le barman.
Un type venait dentrer dans le café.
Vous ne pouvez entrer, je ne sers plus rien, allez-vous-en !
Sol ! Quest-ce que tu fous ? Sécria mon mari qui me regardait, médusé, cuisses ouvertes entre deux hommes.
Sidérés de cette irruption et de mavoir appelé par mon diminutif, les deux types restèrent pantois, comme pétrifiés. Pourtant Fausto avait laissé ses doigts en moi, je nétais pas mieux queux, interloquée je restais passive, nosant bouger de mon tabouret.
Foutez-moi le camp ! Tous ! Vociféra le cafetier qui sentait que ça allait mal tourner.
Du calme ! Lui répondit Patrick, je ne cherche pas la bagarre, jai simplement demandé à ma femme ce quelle fichait ici.
On ne la pas , se défendit aussitôt Fausto qui enfin faisait face à mon mari. Elle est entrée, je lui ai proposé un verre. Cest tout ! Dailleurs son verre de menthe est là.
Cest vrai Solange ?
Jai haussé les épaules en guise de réponse. Voyant ma réponse conciliante, Fausto proposa :
Je vous offre un verre monsieur ? Et on en reste là.
Pourquoi pas ?
Le barman resservit une tournée, lambiance sétait détendue. Patrick leur expliqua notre soirée, doù ma tenue. Naturellement les deux types en vinrent à louer mes formes, ce qui flattait lorgueil de mon mari. Pendant quils discutaient de ma docilité, jallais aux toilettes. Lorsque jen ressortis, Anthony mattendait, appuyé contre le rebord de la vasque. Je lui fis un sourire et me lavais les mains.
Cest vraiment ton mari, ou cest ton maque ? Minterrogea-t-il.
Pourquoi cette question ?
Comme ça. Parce que si cest ton mari, il est cool. Moi je naurais jamais laissé ma femme se faire tripoter comme ça.
Peut-être que jaime, répondis-je, il le sait, alors il est conciliant pour cela.
Tu aimes te faire tripoter ? Répliqua-t-il dun air presque ahuri.
Et pourquoi naimerais-je pas ? Ripostais-je dun ton sensuel, tout en me cambrant alors que je poursuivais de me laver mes mains.
Le jeune Anthony dont la bosse qui déformait son pantalon depuis que nous étions dans le bar vint se placer derrière moi. Ses mains caressèrent mes fesses par-dessus ma robe, puis voyant mon visage dans le miroir, il comprit quil pouvait saventurer davantage. Le bout de ses doigts sinfiltra sous ma culotte, ses mains choyèrent puis étreignirent mes chairs, je fermais les yeux pour goûter cet instant magique, où un jeune homme, hésitant, découvrait mon corps. Il nosait aller plus loin. Javais lappréhension quun des deux hommes ne viennent nous surprendre, alors que la soif de sexe qui couvait depuis le début de la soirée et qui samplifiait, ne se tournait que vers ce jeunot incertain et presque timide.
Prends-moi sil te plaît, le suppliais-je dune petite voix.
Il minterrogea du regard dans le miroir. Mavait-il bien compris ? Je lui répondis dun signe de la tête tout en me cambrant davantage pour lui signifier mon envie. Les yeux fermés je lentendis déboutonner et baisser son pantalon. Jécartais mes jambes au moment où il retroussa ma robe sur mes reins. Délicatement, il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses.
Il était collé à moi, en me maintenant par les hanches, son sexe rigide se flanqua contre mes lèvres. De ma main je men saisis pour guider son gland vers ma vulve humide. Dès son premier coup de rein, ma tête retomba, comme si la pression de ne pas être baisée séclipsait. Il était en moi, je sentais sa verge coulisser dans mon vagin, ses couilles battre mes fesses, son souffle haletant, il me possédait et jétais heureuse.
Je devinais que je nétais pas la première, sans doute me considérait-il par rapport à son âge à une « cougar », une salope mure en recherche de jeunot pour se faire baiser sans autre considération que la jouissance. Je relevais mon visage, je le vis dans la glace, concentré, ne voulant pas être trop précoce, je supposais quil voulait non pas me faire lamour, mais me défoncer, tirer son coup et sen vanter à ses amis, « je msuis faites une bourge dans les chiottes pendant que son mari buvait un coup avec mon oncle, putain la garce une sacrée poule, avec des grosses mamelles, jvous jure les mecs ». De penser quil envisageait cela envers moi me faisait ressentir sa verge, comme une agression sexuelle que je désirais.
Jhaletais de plus en plus fort, mes doigts se crispèrent sur la robinetterie voulant retenir lorgasme qui montait en moi, pour me libérer en même temps que lui. La folie de le recevoir en moi devenait à chaque seconde plus intense, enfin je me libérais :
En moi
Murmurais-je pantelante. Éjacule en moi, Sil te plait.
Javais fermé mes paupières, mon esprit, mon corps, tous mes sens étaient concentrés sur mon vagin, jusquà ce que quelques secondes plus tard, son corps se bande vigoureusement sous un râle étouffé. Au fin fond de mon intimité son sperme que je ressentis fut libérateur de ma retenue. Jeus des convulsions incontrôlables, mon orgasme était vraiment dévastateur, car sans doute trop retenu et assujetti à son éjaculation. Il sest reculotté puis repartit en me disant :
Tu ne dis rien à mes oncles et tu ne reviens que dans cinq minutes.
Lorsque je réapparus dans le bar, le cafetier leur annonça :
Ah, la voilà. Vous allez déguerpir, maintenant je ferme.
À lextérieur du bar tabac, Fausto avait demandé à mon mari que je lui fasse une petite gâterie. Patrick avait heureusement refusé, prétextant lheure tardive puis dans la voiture en rentrant, javais tout dit à mon mari.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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